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Concours

Mercredi 3 mai 3 03 /05 /Mai 08:20

Le blizzard soufflait, projetant avec force des projectiles glacés sur leurs visages douloureux. Laure savait qu'ils étaient perdus.

Plusieurs heures auparavant, elle s'était irritée de l'impatience de son mari devant son allure régulière mais lente. Elle lui avait enjoint de la laisser tranquille et de rejoindre la tête du groupe. Elle-même était restée avec les plus lents, un couple et un homme placide, entre deux âges, au physique imposant mais à la technique de ski précaire.

Alors qu'ils approchaient du village, le ciel s'était assombri, les nuages noirs se regroupant à une vitesse redoutable. Lorsque la tempête était arrivée, en quelques minutes ils ne purent plus voir la moindre trace de piste dans le monde de blancheur qui les entourait. Leurs skis s'enfonçaient dans la poudreuse, rendant leur progression de plus en plus pénible.

Il faisait maintenant presque nuit. Laure suivait le couple, l'homme massif, gêné dans la neige profonde par son poids, fermait la marche, suivant à grand peine.

Laure l'entendit crier, quelque chose le fit arrêté. Elle alerta ses autres compagnons, et ils revinrent, se regroupèrent autour de lui.

Il leur montra une masse indistincte dans la neige, dégagea un peu de neige de son bâton. Laure vit qu'il s'agissait d'une minuscule cabane, un abri plutôt, avec un toit très bas, à moitié effondré sous le poids de la neige.

Ils se concertèrent. Laure ne voulait pas rester là. La cabane était minuscule, et sans chauffage ils y mourraient de froid. L'homme insista. Comme isolant, la neige qui recouvrait tout serait cette fois leur alliée. De toutes façons ils n'avaient guère le choix, dans l'obscurité leurs chances de tomber au hasard sur le bon chemin était infime, et ils n'auraient pas la force de rester en mouvement jusqu'au matin.

L'homme déchaussa, secoua la neige sur lui, puis se glissa tant bien que mal par l'ouverture trop étroite pour lui. De son sac, il sortit une couverture de survie, une fine toile métallisée, dont il recouvrit le sol.

A son tour Laure déchaussa, enleva autant de neige que possible de ses vêtements et le suivit, suivi par le couple, la femme en premier.

A grand peine, gênés dans leur mouvement par l'obscurité maintenant presque complète et leurs mains glacées, ils rassemblèrent leurs sacs à dos et obturèrent complètement l'entrée étroite.

Ils ne pouvaient plus guère bouger, devant rester pratiquement allongés sur la couverture, côte à côte, dans l'ordre dans lequel ils étaient rentrés dans l'abri. Au milieu, le toit incurvé descendait dangereusement sous le poids de la neige, laissant peu de hauteur, et Laure pouvait à peine relever la tête.

A l'initiative de l'homme, maintenant le chef implicite de leur petit groupe, et au prix de contorsions supplémentaires pour fouiller leurs sacs et leurs poches dans l'obscurité, ils partagèrent leurs maigres provisions, un bidon d'eau, quelques biscuits, des barres énergétiques. Laure dut enlever ses gants, et durant le partage fut surprise de sentir les mains chaudes de l'homme, s'y attardant un moment. Seul parmi eux quatre, il ne semblait pas avoir froid.

L'homme suggéra qu'ils enlèvent leurs vestes et les partagent, en construisant ainsi une seule grande couverture, les éléments étant reliés tant bien que mal par quelques boutons. Laure s'exécuta à grand peine et participa à la construction malgré ses doigts rigides, coincée entre ses deux voisins.

Ils se serrèrent, tous sur le côté, la femme tournée vers son mari, Laure se serrant à son tour contre son dos, un peu crispée mais contente de ne pas être sur un bord, avec la sensation un peu embarrassante de la présence de leur sauveur derrière elle. Il n'était pas temps d'être regardante sur la promiscuité, seule la chaleur comptait. Peu de temps après, Laure perçut une onglée dans ses doigts et ses pieds. La chaleur revenait dans ses extrémités, c'était bon signe.

L'homme avait eu raison, leur abri était bien isolé par la masse de neige, alors que la couverture les préservait de l'humidité du sol. Laure pensa qu'ils allaient peut-être survivre jusqu'au matin, finalement.

Laure et le couple parlèrent un moment, tout d'abord épiloguant sur l'inquiétude de leurs proches, l'envoi d'hypothétiques secours. Puis ils parlèrent de tout et de rien, de vieux souvenirs de camping, riant à quelque plaisanterie. Qui était le scout qui avait aussi mal monté le toit de leur tente, bien trop bas? Derrière Laure, l'homme parlait peu, et à un moment Laure comprit à sa respiration devenu régulière qu'il s'était endormi.

Tous se turent, puis essayèrent de s'endormir à leur tour. Au début le bruit des arbres furieusement agités par le vent gêna Laure. Mais elle était fatiguée par la journée de ski, elle avait maintenant chaud, et se sentait en sécurité à défaut d'être à l'aise, toute proche de l'homme à la placidité rassurante.

Elle se demanda encore ce que son mari allait penser. Il passait probablement une très mauvaise nuit, sans pouvoir savoir qu'elle n'était pas en train d'errer dans la tempête. Après tout, cela lui servirait de leçon. Si une autre fois il voulait l'entraîner dans ce genre d'aventure, il n'avait qu'à rester avec elle. Avant de s'endormir, une de ses dernières pensées fût que si son mari avait été là, elle ne voyait pas bien comment il aurait pu tenir dans l'abri déjà bien rempli par eux quatre. Il n'y avait pas sa place...

Lorsque Laure se réveilla, il faisait toujours nuit, le noir était total. Le silence la frappa, le vent s'était finalement calmé. Puis un bruit l'intrigua, à la fois familier et saugrenu dans cet environnement.

Elle réalisa qu'elle n'était plus au contact de la femme. Elle avança une main, avec précaution et se figea, au contact bien identifiable d'une peau nue et chaude.

Elle retira précipitamment sa main, resta immobile quelques minutes. Tout était silencieux.

Puis le bruit reprit, un souffle, le froissement de la toile métallisée de la couverture, et Laure comprit. Le couple à coté d'elle était en train, le plus discrètement possible, de faire l'amour. Visiblement, la femme avait réussi l'exploit d'enlever ou de baisser le strict nécessaire parmi ses vêtements, malgré le manque de place.

Laure resta figée et totalement silencieuse. Il en était de même de l'homme dans son dos, mais Laure n'entendait pas sa respiration pourtant toute proche. Il devait aussi être réveillé, et avait lui aussi pris le parti de faire le mort.

Lorsque les amants ne parvinrent plus à limiter l'ampleur de leur mouvement, la hanche nue de la femme commença à venir rythmiquement au contact de sa propre cuisse. Laure fut terriblement troublée par ce contact. Elle tenta de se reculer, mais fut arrêtée par la sensation très ferme d'une autre anatomie, elle n'eut soudain plus aucun doute sur le fait que son compagnon était également réveillé, et partageait son trouble.

Lorsque le couple en eut fini après un dernier soupir, il y eut quelques chuchotements indistincts, des reptations délicates pendant qu'ils se rajustaient.

Peu de temps après, ils se rendormirent. Laure entendit à nouveau la respiration de l'homme derrière elle, sans doute s'était-il rendormi aussi.

Laure ne parvenait plus à dormir. Elle pensa qu'elle allait rester réveillée jusqu'au matin, et en voulut au couple de l'avoir mise dans cet état et aussi à son propre mari, qui n'était pas là.

A tous petits gestes, Laure défit un bouton, puis deux, puis glissa une main sous son pantalon.

Elle commença à se caresser, sans faire de bruit. Par chance la femme était restée serrée contre son mari, et lui laissait un peu de place.

Au bout d'un moment elle devint consciente que sa propre respiration n'était plus aussi silencieuse qu'elle l'aurait souhaitée. Elle réalisa aussi que le contact de l'homme, derrière elle, avait repris la fermeté qu'il avait eue en entendant le couple. Elle en fut gênée, et troublée, mais pensa qu'elle n'allait pas s'arrêter si près du plaisir. L'homme avait montré qu'il savait être discret, il se rendormirait après.

Puis elle se figea. Une main venait de se poser sur sa cuisse.

La main glissa, une lente caresse qui lui fit se mordre les lèvres pour ne pas gémir. Elle remonta jusqu'à sa taille, s'inséra sous les vêtements, glissant sur son ventre vers sa poitrine, vint toucher ses seins, dégagea les globes du soutien-gorge.

La main était épaisse, les doigts calleux, un contact bien différent de celui auquel Laure était habituée, et d'autant plus troublant.

Les tétons érigés sous la pression, Laure était figée, une partie d'elle-même se demandant pourquoi elle ne réagissait pas alors qu'en même temps une autre partie le savait parfaitement.

La main redescendit, glissa sur la sienne maintenant immobilisée sur son sexe, repoussa l'étoffe du pantalon pour caresser la hanche.

Une autre main se glissa sous la taille de Laure, insista, se força un passage.

La main poussa vers le haut. Laure fut surprise de sa force, comme si elle-même ne pesait rien. Instinctivement, elle souleva sa hanche, obéissant à la pression.

L'autre main remonta vers sa ceinture, et commença à repousser le pantalon déjà détaché et le slip vers le bas. Laure resta passive, pensa qu'il ne parviendrait pas à ses fins sans aide de sa part, tant les vêtements étaient serrés sur ses hanches, et la position peu favorable. A sa surprise, il y parvint cependant, forçant à la limite de la résistance du tissu, lui arrachant une grimace de douleur tant la friction sur sa peau était forte.

Le pantalon à mi-cuisse, elle eut soudain conscience de sa peau nue, offerte. Son coeur battait à toute allure, sa bouche était sèche. Au moins était-elle protégée par le noir absolu, dissimulant sa nudité, l'indécence de son attitude, et pensa-t-elle brièvement celle des actes à venir.

L'homme se rapprocha d'elle. Son sexe tenta de se frayer un chemin entre ses cuisses. Laure restait tétanisée, sans chercher ni à aider, ni à repousser sa tentative.

L'homme parvint à légèrement plier sa jambe supérieure, à s'insérer. Elle dut à nouveau se mordre les lèvres lorsqu'il atteignit son point le plus sensible. La position ne lui permettait pas la pénétration, bien que Laure y ait été physiquement plus que prête, mais dans son mouvement il glissait sur son bouton, propageant en elle une onde irrésistible à chaque mouvement.

Laure se dit qu'après tout, elle ne pouvait pas y faire grand-chose. Elle avait déjà tout oublié du monde, elle oublia maintenant l'abri, et ses voisins, pour ne plus penser qu'au contact sur son sexe, à l'onde délicieuse, aux muscles durs de l'homme contre ses reins, à sa force et sa chaleur derrière elle.

Elle gémit lorsque la main revint vers ses seins, se mit à jouer avec ses tétons.

Elle se mit à onduler, accompagnant le mouvement, puis de plus en plus, le devançant, dans sa recherche de plaisir.

Elle jouit dans un long souffle, qu'elle ne tenta pas de réprimer.

L'homme modifia sa position, cherchant à entrer en elle. Elle se pressa contre lui, mais ce faisant, le repoussa sans l'avoir fait exprès.

Il se retira, puis reprit différemment, glissant dans le creux de ses fesses. La sensation était douce et chaude sur sa peau, et elle le laissa faire, jusqu'à ce qu'il modifie à nouveau son angle et vienne se presser contre son anneau. Elle se contracta, il se retira, s'immobilisa un moment, comme incertain de la suite à donner.

Laure fit rapidement glisser ses vêtements au dessous de ses genoux, et plia cette fois largement sa jambe supérieure. Elle tendit une main en arrière, l'empoigna, s'arrêta un instant, troublée de sa taille et de sa douceur, avant de le guider en elle.

Il la prit, lentement, lui laissant le temps de s'ajuster aux dimensions inhabituelles pour elle, avant de parvenir au plus profond. Il reprit un lent mouvement de va-et-vient. Laure se sentait bien, infiniment femme, contente de la force de l'homme contre elle et en elle, contente de lui appartenir.

Elle perçut la jouissance qui le secoua comme une récompense.

Comme l'autre couple, un peu plus tôt, ils se rajustèrent. Laure était redevenue consciente de leur manque de discrétion, et tenta de limiter l'ampleur de ses mouvements et les bruits d'étoffe, sans vraiment y parvenir, le rajustement de son pantalon étroit n'étant pas plus aisé que son retrait. Heureusement les deux autres, à leur tour, jouèrent le jeu, restant silencieux, qu'ils aient été réveillés ou non.

Laure se rendormit, serrée à nouveau contre son amant de circonstance, cette fois beaucoup plus détendue, confortée par la présence d'une main sous ses vêtements, contre l'un de ses seins.

Des appels les réveillèrent. En écartant les sacs de l'entrée, ils virent que c'était le point du jour. Ils ressortirent un par un, s'entourant de leurs vestes, provoquant les exclamations du groupe venu à leur rencontre, parmi lesquels Laure reconnut immédiatement son mari. Dans la clarté revenue, ils pouvaient maintenant apercevoir le village et ses quelques lumières encore allumées, ils n'étaient pas très loin.

Malgré le froid, Laure sentit soudain la chaleur lui monter aux joues. Elle se jeta dans les bras de son mari, évitant ainsi de croiser son regard. Par dessus son épaule, ses yeux trouvèrent ceux, mi-ironiques, mi-complices, de l'autre femme, qui semblait détendue et en pleine forme. Elle garda ensuite les yeux baissés, préférant éviter ceux de ses compagnons d'une nuit.

La gardant contre lui, son mari prit pour de la joie et de la reconnaissance ce qui n'était que de l'embarras, et pour la seconde fois fut infiniment soulagé, après la nuit d'angoisse qu'il venait de passer.

Laure était consciente, à ses dépends, du fait que l'un de ses seins, celui que son amant avait gardé sous sa main jusqu'au matin, était resté au dessus du bonnet du soutien-gorge. Il lui faudrait endurer l'inconfort jusqu'au village, il n'était pas question de se rajuster en public.

La nuit n'avait appartenu qu'aux amants, mais le jour la ramenait aux réalités.

Par sangokudu94 - Publié dans : queduq
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Jeudi 13 avril 4 13 /04 /Avr 13:43
En exclusivité, voici un lemon harry potter (non, ça ne vient pas de poudlard secret) en 2 parties (que j'ai rassemblées, oui c'est du 2 en 1)

Aventures à l’Allée des Embrumes

Harry passait la fin de ses vacances d’été au Chemin de Traverse après avoir gonflée sa tante Marge qui lui pourrissait la vie (apparemment c’était génétique dans sa famille tout au moins du coté de sa tante).

Harry en profitait pour explorer le monde des sorciers qu’il connaissait si mal ; pour cela il allait dans tout le chemin et découvrait chaque jour de nouvelles boutiques.

Un jour en flânant il s’égara et se retrouva une nouvelle fois dans la sordide Allée des Embrume ! Devant lui se dressait une grande bâtisse avec une enseigne marquée : "Votre plaisir est notre affaire" en lettres roses. Harry vit Dago Malefoy y entre sans que celui-ci le vit. Poussé par la curiosité il décida d’y entrer après quelques minute, par sécurité, pour savoir ce que son ennemi juré y faisait. Il poussât la porte de l’édifice, arriva dans un hall sombre et avança vers un immense bureau derrière lequel siégeait une grosse sorcière. " Que veux tu mon grand ?" Demanda-t-elle à Harry

" Tu viens pour t’abonner ?

Oui "répondit Harry sans savoir de quoi elle parlait

" Voici les formules possibles : pour 120 gallions par an tu as accès aux services sorcières trois fois par semaines; pour 155 gallions tu as en plus accès aux créature de types humaines c'est-à-dire qu’elles ont forme humaine : moldus vampires, elfes etc. Pour 250 gallions tu as accès à tout le catalogue autant de fois que tu veux, au maximum une fois par jour toutefois et en plus tu peux tout voir. Alors mon garçon tu veux quoi ?

Heu j’ai un ami de mon age qui devait s’inscrire " menti Harry, il s’appelle …

Pas de nom ici l’interrompit la sorcière d’accueil. " J’ai une inscription récent d’un garçon de ton age il a pris la formule a 250.

Alors je prend la même " dit Harry

Bien Mais ton numéro de compte de Gingotts sur ce formulaire l’argent sera retiré en tout discrétion.

Voila ta clé rend la moi en partant. Chambre 25, premier étage

Harry se retrouva aussitôt dans une vaste chambre avec un immense lit a baldaquin, des catalogues et un miroir magique géant (il recouvrait tout un mur)

Harry ouvrit le premier catalogue qui expliqua comment procéder. Il toucha le miroir avec sa baguette magique en disant "sirène" aussitôt le miroir se divisa en huit parties: sur chaque partie une sirène différente, dans certaines parti la sirène était en train d’être baisée par un sorcier.

Harry comprit qu’il se trouvait dans une maison close façon sorcier, il fit quelques essais du miroir avec des centaures, des vélanes et des minotaures femelles avant de ce décider avoir pour les sorciers : " sorcières " dit-il en touchant le miroir qui se divisa en 12 cases/sur l’une d’elle il vit a sa grande surprise Ginny la sœur de son meilleur ami Ron

Harry, troublé remit l’image des sirènes et examina les images il prononça " sirène huit et aussitôt " dans un grand craquement le lit laissa la place a une piscine ou barbotait la sirène. La sirène avait sa tête et son torse de femme et ses jambes étaient des nageoires recouvertes d’écailles bleutées qui brillaient doucement, ses longs cheveux verts lui faisaient une traîne. Une note était posée près de la baignoire: "cette très jeune sirène vins juste de nous arriver elle a l’age mentale d’une humaine d’une dizaine d’années et est encore vierge, elle est très joueuse. Harry se déshabilla, il avait une trique terrible, la sirène l’excitait énormément. Il descendit dans le bassin et la sirène commença à nager autour de lui en le frôlant. Elle ignorait visiblement pourqu oi elle était là. Notre héro toucha la queue de la sirène sous l’eau : ses écailles était douces et chaudes. La sirène s’arrêta face à Harry qui s’approcha doucement d’elle. Elle tendit sa petite main vers lui et caressa les jambes d’Harry qui en frissonna de plaisir. Harry saisi la jeune créature a la taille. La sirène n’avait pas de poitrine vu son jeune age; il caressa tout le corps de la sirène : son cou délicat, son torse fin, ses mains palmées et douces, sa taille très fine et sa queue de poisson d’une souplesse extra ordinaire. Il découvrit les deux orifices de la sirène situés à la même position que si elle était humaine. Sa vulve était cachée par quelques grandes écailles qu’Harry écarta violemment tant son désir était grand. Il serra la sirène contre lui et l’embrassa violemment puis la mettant à la verticale pour pouvoir la baiser et respirer en même tant, la sirène qui ne mesurait qu’un mètre avait la tête sous l’eau au niveau du torse d’Harry. Harry mit noua ses jambes derrière la sirène au niveau de son cul minuscule et rentra enfin son chibre dans le minuscule abricot marin en déchirant l’hymen de la jeune sirène, un peu de sang jaillit. La sirène se tordait de douleur et se débattait pour essayer d’échapper à la douleur dans son con distendu. Harry était aux anges, sa queue dans l’étroit fourreau de la petite sirène qu’il défonçait à grands coups de reins énergiques. La sirène complètement dominée par Harry souffrait le martyre, son petit vagin dilaté, à la limite du déchirement, occupé par une queue humaine de bonne taille 18cm de long et 2,5 de large (les sirènes males avaient une queue de 12 cm de long et de 1,5 de large les pauvres). La sirène hurlait sa douleur par de petits c ris aigus et en frétillant pour échapper à l’étreinte d’Harry, qui sentait la pression monté de plus en plus grâce a l’étroitesse du vagin au petit cris qui montaient de l’eau et au frétillement de sa victime, il finit par se lâcher au fond de son corps d’enfant des eaux en long jets de sperme.

Il se retira et s’écarta de la sirène qui demeura prostrée dans son bassin. Il regarde le petit corps violé de la sirène et senti sa queue regonflée, il l’approcha de la bouche entrouverte de la sirène et l’enfonça forcent la petite bouche d’enfant à engloutir se bite donc le gland touchait la le fond de la gorge, la sirène brisée commença par la lécher puis par pomper l’aiguillon de chair à l’origine de ses souffrances. Harry, déchaîné, agrippa la sirène par les cheveux pour lui imposer son rythme ; il sentait de mieux en mieux la succion de la sirène et il vit des flash lumineux et il eut un orgasme monstre, il lâcha la purée dans la gorge de la sirène qui avala avec des hauts de cœurs. Harry, épuisé, sorti du bassin, se sécha et se rhabilla et dit à haute voix " Satisfait "

Il se retrouva téléporté à l’accueil, sortit et se traîna épuisé jusqu'à sa chambre au Chaudron Baveur.

" J’y retournerais demain " se jura-t-il avant de s’endormir.

Mais c’est une autre histoire.

 

 

Harry, le lendemain, décida de retourner au bordel sorcier de l’allée des embrumes. Ayant mémorisé l’emplacement de la maison close il se pointa directement à son nouveau club, il y entra et alla voir la grosse sorcière de l’accueil
« Chambre 18 »dit-elle en lui tendant la clé
Harry y allant entra et se rua sur le catalogue qu’il de mit a feuilleté rapidement.
Voyons voir quoi prendre aujourd’hui pensa notre héros : sorcière, sirène (non déjà pris), femme (centaure pourquoi pas), tiens c’est quoi ça maîtresse des animaux? Je vais essayer
« Maîtresse des animaux Vénia » dit-il d’une voix impatiente et curieuse
Il se retrouva aussitôt téléporté dans une grande cage
Bizarre pensa t’il, j’ai été téléporté cette fois
« Tiens, tiens, dit une voix féminine, un nouveau pensionnaire »
Une sorcière d’une trentaine d’années apparue; sa peau était blanche ses yeux vert émeraude brillait d’un éclat sauvage, ses très long cheveu noir pendaient librement dans son dos. Elle était habillée de peaux de bête noire mate qui la moulait et lui faisait comme une seconde peau, ses seins étaient libres et leur blancheur ressortait sur la fourrure noire son sexe noir ne se distinguait que grâce à la courbure de ses poils pubiens qui formaient une épaisse toison noire bouclée.
« Alors petit sorcier tu es venu voir la grande Vénia » Dit la maîtresse des animaux
« Oui madame répondit Harry
« Silence ce n’était pas une question et tu doit m’appeler MAITRESSE compris sale mome
« Je ne suis pas un mome» cria Harry assez vexé
Vénia eut un sourire glacial et moqueur
«Ah oui! On va voir ça » elle pointa sa baguette sur Harry qui se retrouva nu comme un ver
«Pour ta peine tu vas recevoir une punition »
Harry qui cachait son sexe avec ses mains vit une porte apparaître dans la cage et un jeune sombral entrer dans la cage. Cet espèce de cheval reptilien à ailles avait un sexe de 21 cm de long et de 4cm de large en érection
«Boit » dit la maîtresse en tendant une potion à Harry qui s’exécuta
Une étrange chaleur se répandit dans son corps et il se sentit bizarre
«Qu’est ce que c’est cette potion ? Que m’arrive t’il ? » Demanda Harry à Vénia
«C’est une potion de désir, elle rend son buveur insatiable, une vraie machine à sexe. De plus celle-ci est différente, elle excite les zone érogène du buveur »
« Hein ?»
« Tu vas comprendre» dit elle « approche toi de moi et met toi a quatre pattes !»
Harry rampa près d’elle et se mit à quatre pattes. Vénia lui enfonça brusquement son majeur dans l’anus.
Un gémissement échappa à Harry qui se cambra instinctivement sous l’étrange caresse: son cul était en feu
Vénia fit tourner son doigt
«Alors tu comprends maintenant tu es en chaleur mon petit male, allez c’est au tour de Manacle maintenant.
«Manacle ?» demanda Harry
«Lui » répondit Vénia en montrant le poulain sombral. Elle retira son doigt du cul d’Harry Et lui mit dans l bouche ou Harry commença à le lécher ; une table avec de grands pieds apparus et Harry s’allongea dessus.
Manacle, bien dressé et connaissant son rôle, se mit derrière notre héros en chaleur et passât ses deux jambes antérieurs de chaque coté d’Harry sur la table; son sexe à la bonne hauteur et la bonne position, et commença a sodomiser Harry
« AAAAAAAAAAAAAAAH » hurlât Harry de douleur
Le pénis du sombral Lui écartait les fesses et lui déformait l’anus, Harry sentait le sexe lui pénétrer violemment les entrailles. Le sombral lui rentra complètement son sexe dans le cul et Harry ouvrit tout grand les yeux et la bouche sans laisser échapper un cri. Le sombral commença a faire des vas et viens dans Harry qui laissait le plaisir remplacer peut a peu la douleur et se mit a gémir de plaisir. Il sentait des ondes de plaisir venir de son anus dilaté, ces ondes devenaient de plus en plus intenses et rapprochées
« Oh je vais jouirrrrrrrr dit-il en éjaculant de long jet de sperme
Pantelant et écroulé sous Manacle qui continuait ses coups de queue il senti le sexe du sombral grossir puis un liquide chaud et visqueux envahit ses entrailles
Manacle se retira et fut renvoyer dans sa cage.
Harry sentit son sexe durcir et se releva; le sperme du sombral dégoulinait de son cul
« Alors petit male tu as aimé ? »
« Oui beaucoup Maîtresse «
« Bien tu apprend vite et je vois que la potion encore fait effet parfait»
Elle pointa sa baguette vers Harry en murmurant une incantation.
Harry sentit son corps fondre et se remodeler
« Tu es un loup maintenant seule ta queue n‘as pas changée; couvre moi comme Manacle te l’a fait
Vénia se mit à quatre pattes et leva ses magnifiques fesses recouvertes de fourrure en l’air. Harry se jeta sur elle et commença à la pénétrer violemment comme un animal, sa virilité et son désir augmenté par la potion et son instinct animal. La chatte de Vénia était douce, chaude, étroite, et de plus en plus humide. Harry la besognait vigoureusement et Vénia se mit à pousser un hurlement sauvage de louve en rut.
Harry senti la cyprine de Vénia suinter de plus en plus dans son vagin puis une explosion liquide se produisit qui déclencha la l’éjaculation d’Harry.
Harry se réveilla dans la chambre 18 avec un mot sur la table de chevet : Revint me voir quand tu veux petit homme signé Vénia
Harry se jura de retourner la voir
Par sangokudu94 - Publié dans : queduq
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Mercredi 12 avril 3 12 /04 /Avr 13:53
Je suis Sandrine, 18 ans, eurasienne (franco-japonaise), mignonne, un look un peu gamine. C'est du moins l'avis des mecs. C'est mon vrai prénom.

Il y a encore un mois je n'aurais pas cru être capable de me confier sur ce site que j'adore mais aujourd'hui c'est différent. J'ai simplement changé les prénoms des autres pour éviter qu'on les reconnaisse. Mais sinon tout est vrai.

J'ai décidé de vous raconter ce qui m'arrive depuis bientôt 4 semaines. Rien que d'y penser, une chaleur m'inonde le ventre. Moi qui ne me croyais pas très portée vers le sexe, j'ai découvert que je pouvais me conduire comme une vraie salope et que si je n'avais pas tellement de rapports c'est que j'étais pas tombé sur le bon mec. C'est pas facile d'en parler. Faut avouer que je suis timide. Ou plutôt je l'étais. Réservée plutôt et que je manque un peu de confiance en moi. Enfin je manquais car à présent c'est différent. Surtout que j'avais toujours du mal à savoir ce qui pouvait attirer les mecs chez moi. J'ai un look de gamine et beaucoup me donnent moins que mes 18 ans. J'ai pas une grosse poitrine et moi je croyais que c'était ce qui faisais kiffer les mecs. Les nuls sans doute. Parce que le mec que j'ai rencontré, mes petits seins ça le rend dingue. Y a pas que ça, je vois bien. Et il m'a fait découvrir le plaisir.

Je suis à la fac. Faut dire qu'avant, j'avais pas trop la tête à penser aux mecs. Mes parents sont assez stricts et en plus moi j'aime étudier. Et puis comme mes parents, ils aiment pas trop que je sorte le soir, j'ai pas pu avoir tellement d'aventures.

J'ai perdu ma virginité il y a à peu près un an. Mais ça pas été terrible. J'ai surtout eu mal et le mec j'en étais pas vraiment amoureuse. Juste un béguin passager et surtout pas envie d'être la seule à être encore vierge parmi mes copines. Certaines ont des mecs réguliers. Moi avec mon premier ça n'a duré qu'un mois puis il m'a largué pour une fille qui avait une sacré paire de seins.

J'ai juste eu par la suite deux aventures mais c'était pas trop ça et sérieusement j'en venais à me poser des questions sur ma sexualité. Mais vu que j'avais jamais regardé mes copines sous la douche à la piscine ou à la salle de sports, je doutais aussi d'être lesbienne. Je me disais que ce serait différent avec un mec que j'aimerais vraiment. Ce sera sans doute vrai. Mais pour le moment, je sais que ça peut être vraiment super avec un mec qui sait y faire.

Tout a commencé il y a 4 semaines de cela. Comme je vous l'ai dit, mes parents sont assez stricts. Ma mère est japonaise et pour elle, la sexualité ce n'est pas une partie de plaisir. Quand elle a découvert que je prenais la pilule (elle avait fouillé ma chambre, vous voyez le genre), ça été un drame. J'ai dû lui dire que j'avais couché avec un mec (j'ai pas parlé des deux autres car je suis sure qu'elle aurait crue que j'étais devenue une pute) parce que j'étais amoureuse (tu parles mais bon j'allais pas lui dire que j'avais fait ça avec un mec comme ça juste pour plus être vierge). Et puis que ça n'avait pas marché. J'ai eu droit à des reproches et comme elle a vu que je pleurais elle m'a fait promettre d'être sérieuse. Le plus important pour elle ce sont mes études et pour elle, une fois diplômée, il n'y aura aucun problème car je trouverai facilement un mec sérieux et avec une bonne situation. Vous voyez le genre.

En plus comme je suis la première d'une famille de cinq enfants (3 soeurs et 1 frère), selon elle, je dois donnerl'exemple. Mon père est un peu plus cool mais vu qu'il bosse dans une grosse multinationale à un poste à hautes responsabilités, je le vois peu. Et puis pour ce qui est de l'éducation, il laisse faire ma mère. Bon vous me direz le principal c'est qu'ils s'aiment et là pas de soucis. Peu de disputes et toujours amoureux l'un de l'autre. Dans un monde où règne le plus souvent les déchirures et les divorces, c'est vrai que c'est rassurant pour mon équilibre.

Donc je promets à ma mère d'être sérieuse et de plus coucher. Vous comprenez mieux mon problème. Je me disais qu'il ne me restait plus qu'à me caresser tous les soirs. C'est pas que ça me déplaise mais j'étais un peu frustrée de me toucher. C'est pas pareil. J'en suis encore plus consciente depuis 4 semaines. Donc me voilà avec ma mère qui me fait promettre d'être sérieuse. Ca m'a trotté dans la tête le soir mais vu que mes rapports avec les mecs avaient pas été terribles, je me disais que je perdais rien au change. J'ai changé d'avis. Que je vous raconte.

Ma mère est toujours prête à rendre service. A ses amis ou même aux amis des amis. C'est son style. Elle travaille pas. Encore qu'élever 5 gosses c'est un sacré boulot. Mais en plus elle aime vraiment aider les autres. Ca fait partie de son éducation et elle nous a transmis cette volonté d'aider les autres. En échange de rien. Juste pour un sourire et un merci. Pour que vous compreniez bien la suite, il faut aussi que vous sachiez qu'étant l'aînée, j'ai souvent participé aux tâches ménagères et aidé ma mère à s'occuper de mes frères et soeurs.

Il y a un mois, nous étions à la maison quand Su-jan est venue. Je la connais sans plus. Je l'avais déjà vu dans des fêtes mais bon je faisais pas trop attention à elle. Elle a 28 ans, mariée avec un français. C'est une chinoise (du Nord de la Chine) et qui est venue en France pour ses études (elle est prof) et puis elle a rencontré un français et ils se sont mariés. Ils ont 2 enfants, Si-ju (une gamine de 5 ans) et Léo (3 ans, un amour).

Donc Su-jan arrive ce soir là. C'était un samedi. Elle était seule et pas bien, ça se sentait. Elle pleurait et moi comme j'aime pas trop me mêler des affaires des autres, je m'apprêtais à les laisser toutes les deux en tête à tête quand Su-jan m'a demandé de rester. Su-jan venait d'avoir sa famille au téléphone. Sa mère était gravement malade. Et elle ne savait pas quoi faire. Elle avait envie d'aller en Chine mais avec les enfants c'était pas possible. En plus son mari il pouvait pas s'absenter comme ça. Donc il allait rester mais vu qu'il rentrait tard, elle ne savait pas comment s'organiser pour les enfants.

Avant qu'elle ait fini, j'avais compris pourquoi elle avait voulu que je reste. Et moi ça me branchait pas trop. Mais bon, je connaissais ma mère et je me voyais mal dire non. Donc c'est comme ça qu'il a été convenu que je vienne m'occuper des enfants le soir. La journée, ils allaient chez la nourrice et le soir je les récupérais, m'en occupais, les faisais dîner et les couchais en attendant le retour de leur père. En plus, Su-jan elle me prêtait sa voiture pour que tout se passe bien et que je perde le moins de temps possible. Vu que j'ai eu mon permis il y a peu mais que j'avais pas de voiture, cette perspective m'enchantait. Je pouvais rentrer le soir après le retour du père. Il s'en occuperait la nuit si besoin et les déposerait le matin chez la nourrice. Ma mère lui a tout de suite dit que ça lui semblait trop compliqué et que le mieux c'était que je dorme là bas.

Ca par contre ça me branchait pas trop. J'adore ma chambre et dormir chez des étrangers j'aime pas trop. Mon côté gamine sans doute. Mais vu que Su-jan habite à près de 30 mn et que je sens surtout que ma mère veut pas que je prenne le risque de trop conduire de nuit, j'avais pas le choix. Pour Su-jan, aucun problème, ils ont deux chambres d'amis.

Donc me voilà prêtée à Su-jan. Et pour nous organiser comme il faut, elle me propose de venir le lendemain chez eux. Elle prévoit de partir dans 2-3 jours et j'aurais le temps de me préparer. Elle parle de salaire. Mais je vois bien que c'est pas son truc et que si elle en parle, c'est que son mari a dû lui dire de le faire. Bien entendu, il n'en est pas question. Pour ma mère, c'est normal et pour moi après tout mon cadeau c'est de pouvoir conduire. Ca me manquait et vu la voiture de Su-jan (une 307) je sens que mes copines vont être jalouses même si ça va pas durer trop longtemps. Su-jan, elle savait pas trop combien de temps elle sera absente. Mais bon je sens que ses enfants vont lui manquer et ça la rassure que je vienne. Elle sait que j'ai beaucoup aidé ma mère. Donc c'est ok.

Le lendemain matin, je me préparais doucement à partir. Su-jan avait téléphoné vers 10h pour dire qu'elle viendrait me chercher après déjeuner. Et je préparais mes affaires. Pas trop de choses. Je prévoyais de repasser la journée chez moi pour prendre des fringues en plus, si besoin avant d'aller chercher les gamins chez la nourrice. Ma mère me fait plein de recommandations. D'être sérieuse, de pas conduire trop vite, de faire attention à la voiture, d'aider au maximum le papa. Elle le connaît. Il est Haut Fonctionnaire et dans la bouche de ma mère je sens le respect. Elle me demande surtout de pas leur faire honte.

Moi je le voyais déjà vieux, grand, hautain, dégarni et avec des lunettes. Je sais pas pourquoi mais moi les Hauts Fonctionnaires c'était comme ça que je les voyais. Donc je me prépare. Et puis on sonne à la porte et je vais ouvrir. Je m'attendais à voir Su-jan et j'ai eu un vrai choc en découvrant un homme devant la porte. J'ai eu le souffle coupé et il me faut plusieurs secondes pour réaliser qu'il me parle. Ma mère qui arrive et lui dit d'entrer. C'est lui le Haut Fonctionnaire. Rien à voir avec mon cliché. Il est grand, des lunettes ok mais pas dégarni du tout (cheveux en brosse), la trentaine, un sourire. Il est vraiment mignon et je me dis qu'après tout ce sera moins barbant avec lui que si ça avait été un vieux chnok.

Donc le voilà qui me serre la main et qui me remercie. Mon père qui lui propose un café et moi qui ne peut m'empêcher de le regarder. J'ai déjà vu des mecs plus beaux mais lui c'est spécial. Je sais pas mais je me sens super heureuse de partir. Mais bon je me dis aussi, qu'il faut que je me calme, faut surtout pas que je fasse honte à mes parents et puis ce mec il est marié, il a deux gosses et moi je suis pour lui qu'une gamine. Mais bon quand même ça m'a fait chaud au coeur quand il m'a souri pour me remercier de venir l'aider.

Mon père qui lui pose des questions sur son boulot. C'est un crack ce mec. Une grosse tête mais simple. Pas arrogant et toujours souriant. Je vais pas vous raconter des cracks mais moi je craquais littéralement. Je me disais que ma mère avait raison, que je devais être sérieuse, faire mes études et épouser après tout un mec comme ça. Donc mon père qui discute avec lui et lui qui sourit. Je me dis qu'il me sourit mais je sens que je prends surtout mes rêves pour de la réalité. Finalement, ma mère qui donne le signe du départ. Su-jan doit attendre et elle doit avoir plein de recommandations à me faire. Donc on s'en va, non sans que ma mère me fasse promettre de bien me comporter et de ne pas hésiter à l'appeler si j'ai un problème avec les gamins. Et surtout de me faire toute petite avec Alex qui a beaucoup de responsabilités et surtout de pas l'ennuyer avec mes conversations de gamine. Merci.

Donc on part en voiture. Une Laguna tout confort et je suis heureuse. Alex qui me fait la conversation, qui me remercie de venir l'aider, m'interroge sur mes études, me donne des conseils et me dit qu'il pourra m'aider si besoin vu que lui aussi a fait du Droit (entre autres). On arrive. La maison est superbe, grande, spacieuse, décorée avec goût. Le salon me fascine. Une superbe télé plasma et un home cinéma. Des canapés en cuir et une table basse en marbre. Ca sent le luxe et je me dis que c'est cool. Chez mes parents c'est confortable aussi mais moins luxueux quand même. Et la chambre qu'elle m'a préparée est superbe. Un grand lit, une télé, un lecteur dvd, une chaine hifi, et des coussins en pagaille. Moi j'adore. Et ma propre salle de bain. Cool.

Donc je m'installe, déballe mes affaires en vitesse et me dis qu'au final ce sera comme des vacances ici. Ensuite, je descends et Su-jan m'explique sa maison et me fait plein de recommandations. De toute façon, elle a préparé un gros cahier où tout est expliqué. Et puis le numéro de son mari au cas j'aurais un problème mais en me demandant de vraiment l'appeler qu'en cas de gros problème car il est très occupé. Donc l'après midi se déroule tout doucement et je remonte pour me changer. C'est là que j'ai eu mon premier choc. J'arrive en haut des escaliers et la porte de leur chambre est ouverte. Je ne peux m'empêcher de vouloir jeter un coup d'oeil. Vu la beauté de ma chambre, je me dis que la leur doit être encore plus belle. Elle l'est effectivement mais en fait c'est pas ça qui m'a marqué. Je jette donc un coup d'oeil et là je tombe sur Alex.

Il était de dos. Nu il sortait de sa douche (comme moi ils ont une salle de bain attenante). Et moi qui ai vu peu de mecs à poil, je ne peux m'empêcher de rester tétanisée devant ce mec. Il est vraiment bien foutu. Je reste là un moment à le regarder en me disant que je suis folle, que je vais foutre la honte à mes parents, qu'il va pas apprécier de me voir le mater s'il se retourne et qu'il risque surtout de dire à sa femme que je conviens pas. Mais bon moi, ça j'y pense pas trop sur le moment. Après ça m'a trotté dans la tête mais c'est vrai que sur le coup j'ai vraiment profité du spectacle. Il se séchait et je l'admirais. J'étais ailleurs.

Et puis soudain j'ai entendu mon prénom. Su-jan m'appelait. Je me retourne comme si je pensais qu'elle était derrière moi puis je reprends ma pose initiale et là le second choc. Lui aussi s'était retourné et il me regardait. Toujours ce sourire. Et moi qui ne me sauvais pas mais qui continuais à le mater. Encore plus car maintenant j'avais une vue plongeante sur son sexe. Et je ne pouvais détacher mon regard. Et lui toujours ce sourire. Et il s'approche. Mais moi j'ai pas attendu qu'il arrive. Je me sauve. J'ai la tête qui tourne et je me dis qu'il faut que je parte. Su-jan m'appelle en bas. Je descends. Elle sent que ça va pas. Mais je me vois pas lui dire que j'ai maté son mari à poil et que mon émotion c'est d'avoir vu sa queue. Je lui dis que j'ai faim. Elle préparait justement le diner et voulait me montrer le maniement du four.

J'essaye de penser à autre chose et de me concentrer sur ce qu'elle dit mais je n'arrête pas de penser à son mec. Et j'ai peur aussi qu'il vienne et dise à sa femme que je dois partir. J'imagine la honte pour mes parents. Le voilà qui descend et toujours ce sourire. Ses yeux brillent. Je sens qu'il ne dira rien même avant qu'il ne parle. Ses yeux parlent pour lui. Je les sens sur moi. C'est étrange je n'avais jamais ressenti cela aussi fort. Su-jan continue à parler mais je l'écoute plus. Mon coeur bat très fort et encore plus quand il demande pourquoi j'ai pas l'air bien. Su-jan qui lui répond que j'ai faim et toujours ce sourire. Je n'ose plus le regarder et je voudrais être six pieds sous terre à cet instant.

Su-jan est toujours dans ses explications mais moi j'ai vraiment la tête qui tourne. Je me demande ce que je fais là. J'ai peur et en même temps j'ai aucune envie de partir. Ce mec m'attire terriblement et je me demande vraiment comment je vais faire pour vivre avec lui pendant quelques jours (semaines ?). Su-jan finalement s'arrête et m'invite à aller me rafraichir. Elle est vraiment gentille. Elle a composé un bouquet pour moi avec des fleurs du jardin. Pour me remercier. Je m'en veux alors terriblement d'avoir maté son mec et de ces pensées étranges qui m'envahissent. Je me jure de rester distante de lui. C'est un charmeur c'est sur et il doit être content de son effet sur une minette de 18 ans.

Donc je monte et en passant devant lui j'évite surtout son regard. Mais je sens son regard sur moi et je me retourne. Su-jan est repartie dans le jardin (potager) et il me regarde monter les marches. Je sens son regard posé sur mes fesses. Ca me fait bizarre. C'est chaud entre mes cuisses et je ne sais plus où j'en suis. Je me dis qu'une douche froide me fera le plus grand bien. Que je vais rester là ce soir mais que si ça continue demain j'inventerai un prétexte pour dire non à Su-jan. Je me vois vraiment pas vivre ici avec son mec qui me mate.

Je rentre dans ma chambre. Je me crois chez moi et je pense pas à fermer tout de suite la porte. Quand je me retourne pour le faire, il est là devant moi. Je suis tétanisée. Il s'avance. On entend en bas Su-jan qui parle avec les enfants et lui il continue à avancer. Je pourrais lui dire de sortir mais je ne peux pas. Je me mords les lèvres. Le voilà devant moi. Il se penche et pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue sort et essaye de forcer le barrage de mes lèvres. J'essaye de lutter mais c'est trop pour moi. Ma bouche s'ouvre et sa langue enveloppe la mienne. Ce baiser. Mon dieu, ce baiser. Jamais aucun mec ne m'avait embrassé ainsi. Je ne sais plus où j'en suis. Je me donne entièrement à sa bouche. Je sens ses mains sur ma nuque, il me caresse tendrement la nuque et je sens mon ventre qui se contracte. Jamais je n'ai senti ça. Et je sens qu'il bande. Il est en jogging et c'est tout dur contre moi. Il m'embrasse le cou, descend le long de ma gorge, et je sens ses mains qui se collent à mes fesses. Il me serre contre lui et je sens sa queue collée à moi. Je me sens partir. Je coule littéralement. Mes cuisses s'ouvrent toutes seules. Je n'ai jamais ressenti ça. Je l'embrasse à pleine bouche.

Et soudain il me repousse et sort de la chambre. En me laissant ainsi en plan. Je ne sais plus où j'en suis. Je ferme la porte et me déshabille. Je jette mes vêtements dans tous les sens. Et je me jette sur le lit pour me soulager. Je me caresse comme une folle. Et je sens la jouissance venir. C'est si fort. Vite une douche froide pour me changer les idées. Mais bon quand je redescends c'est vrai que j'ai toujours en tête ce baiser. Il est là à donner à manger à sa gamine. Et je le regarde et je sens mon ventre se contracter. Il doit sentir mon regard car il se retourne et je sens son regard me pénétrer. Je suis en train de fondre et mon slip qui s'humidifie à nouveau.

Su-jan qui me propose de donner à manger à Léo. Je sens qu'elle veut surtout me tester. Et là je me surpasse. D'accord j'aime les gamins mais là c'est encore plus fort. J'ai pas envie de partir, j'ai hâte de me retrouver seule avec ce mec et je m'imagine déjà faire l'amour avec lui. Rien que ce baiser m'a procuré un tel plaisir que je me dis qu'avec lui je vais prendre mon pied au lit. Je ne me reconnais plus. Bon mais vu que Su-jan est là, j'essaye de rester le plus calme possible. C'est dingue comme elle cause. Moi je réponds par monosyllabes mais elle, ça ne la dérange pas. Je suis face à eux et j'ose à peine lever le nez de mon assiette de peur de croiser le regard de Alex. Surtout son sourire. Je sais vraiment plus où j'en suis et j'ai pas faim. Su-jan qui me demande si je n'aime pas et moi qui me rappelle lui avoir expliqué mon « malaise » pour de la faim. Donc je me force à manger. C'est délicieux mais bon j'ai vraiment pas la tête à manger. Je sens mon slip trempé. Je coule littéralement devant ce mec. Cette sensation est étrange. Je n'ai jamais connu ça avec mes petits copains. Et à chaque fois que je lève les yeux, je ne peux m'empêcher de le regarder.

Et je suis furieuse en moi-même de voir qu'il ne me regarde plus. Il s'occupe de ses enfants et il parle avec Su-jan. Je me demande ce que je fais là et j'ai bien envie de partir. Il a dû sentir mon malaise car soudain je sens son regard sur moi. Je fonds. Je dois avoir les joues roses car Su-jan me demande si ça va. Je lui dis que ça doit être le fait d'être partie de chez moi. J'ai pas l'habitude. Elle qui continue à me remercier. Lui qui prend la parole pour me dire que décemment il ne peut pas accepter que je ne sois pas rémunérée. Qu'il comprend l'attitude ma mère à ce propos mais bon que je suis étudiante et que toute peine mérite salaire. Su-jan sent que je suis mal à l'aise. Mais elle se trompe sur la cause. Bien sûr elle ne peut pas savoir. Elle reproche à Alex de parler d'argent et me dit qu'on trouvera bien ensemble un moyen de me remercier.

Moi dans ma tête je sais quelle récompense j'ai envie. Et je lis dans les yeux d' Alex que lui il a compris. j'ai grave envie de sexe avec ce mec. Mon slip est trempé et vu que j'ai mis un jogging blanc j'ai peur qu'en me levant qu'on se rende compte que je suis trempée. Mais c'est bon de mouiller comme ça sans se toucher. C'est la première fois et j'ai le ventre qui se contracte. Su-jan qu continue de parler et me dit que finalement vu que je me débrouille bien, elle est rassurée et qu'elle va voir si elle peut pas partir demain. Moi je fonds et je me dis que si elle veut partir tout de suite je lui porte ses valises.

Je sais vraiment plus où j'en suis. Je me lève et je sens le regard de Alex posé sur moi. J'ai vraiment l'impression qu'il sait que je suis trempée. J'ai les seins qui me font mal. J'ai jamais connu ce degré d'excitation. J'ai les tétons tendus comme lorsque j'ai froid. Mais là j'ai pas froid. J'ai le corps en feu et mon sexe me démange. J'ai une folle envie de retourner dans la chambre et de me caresser. Mais j'ai encore plus envie que ce soit lui qui me caresse. Su-jan me demande si je peux m'occuper de coucher les enfants. Je monte à l'étage. C'est cool ça m'oblige à penser à autre chose. Mais à chaque pas, je me sens mal à l'aise. J'ai vraiment la culotte imbibée et ça me colle grave. Mais bon je monte avec les enfants. Je me donne entièrement à eux mais je ne peux m'empêcher de penser à Alex. C'est pire quand je l'entends rentrer dans la chambre des enfants. Il est derrière moi et j'ai vraiment le sexe en feu. J'embrasse les gamins et je me retourne. Il est là à regarder et visiblement il bande.

Je sais pas quoi faire. Il avance et je crois qu'il va m'embrasser. J'ai tellement envie de lui. Mais non il va voir ses enfants. Moi je pensais plus aux gosses. Je vais pour partir quand il me prend la main me disant de rester. Je me sens fondre. Je tremble. Il le sent, la pression de sa main sur la mienne se fait plus forte. On sort ainsi de la chambre. Il referme la porte. Et soudain sa main quitte la mienne pour se poser près de mon sexe. Il sent que je suis trempée. Il ne dit rien mais son regard et son sourire valent plus que des mots. Et il se met à me caresser ainsi. Moi collée au mur lui devant moi sa main glissée entre mes cuisses qui s'ouvrent toutes seules. Je tremble. Je me sens partir. Et de nouveau au moment où je me sens si bien, il s'esquive. Et il s'en va, portant sa main à son nez. Et il se retourne avec son petit sourire. Moi j'en peux plus.

Pour la seconde fois, je vais dans ma chambre et de nouveau je me caresse... Mais là je suis vraiment en feu et je me promets la prochaine fois de tout faire pour le retenir. Je suis prête à tout. Je redescends. J'ai du me changer. Mon jogging est trop trempé entre mes cuisses pour que Su-jan ne se rende compte de rien. Je descends en short. Je sais pas pourquoi mais j'ai envie. Su-jan me fait des compliments sur ma taille, ma finesse et on se met à parler de choses et d'autres. Mais j'ai vraiment beaucoup de mal à me concentrer. Alex revient. D'où je sais pas. Je me dis que peut-être comme moi il est parti se soulager. J'ai su par la suite que non. La branlette c'est pas son truc.

Donc nous voilà tous les trois à boire un thé. Moi j'avais plus envie d'un alcool mais je me voyais mal le dire à Su-jan. J'avais besoin de quelque chose de fort pour me remettre de mes émotions. Su-jan qui dit qu'elle va aller sur internet pour voir si elle peut changer son vol et partir plutôt demain matin, qu'elle prendra un bain après. Je me sens gênée d'être là. Je leur dis que je vais me coucher. Su-jan qui me fait la bise me disant encore merci. Alex qui se lève et qui à son tour me claque deux bises. J'ai envie de me coller à lui mais bon y a Su-jan. Je remonte et je ne peux m'empêcher de me retourner pour voir s'il me regarde.

Là je suis jalouse. Il s'en fout de moi. Il est collé à sa femme et il l'embrasse à pleine bouche. Elle me tourne le dos et je vois les mains de Alex collées à ses fesses. Il va la baiser. Ca me rend folle. Je rentre dans ma chambre. J'ai envie de pleurer. Jamais j'ai ressenti ça. Je me force à regarder la télé. Puis mon portable sonne. C'est ma mère. Questions réponses, vous voyez le genre. Elle sent que je suis bizarre. Tu m'étonnes. Mais elle met ça sur le fait que c'est que je dors pas dans ma chambre. Ok bonne nuit mais bon moi j'ai pas envie de dormir. De nouveau la télé mais y a beau avoir la parabole et plein de chaînes, moi je pense pas à ça. J'ai la chatte en feu. Je ne me reconnais pas. J'ai jamais connu ça avec mes 3 aventures.

Finalement, je me lève. J'ai soif. Pas de bruit. La maison est silencieuse. Et puis la curiosité l'emporte. Au lieu de descendre je me dirige vers leur chambre. La porte est fermée. Je me colle à la porte et je les entends. Même si j'ai pas beaucoup d'expériences, y a pas de doutes ils font l'amour. J'entends des soupirs et des cris en chinois. C'est Su-jan, elle doit prendre son pied. Et j'en crève de jalousie. J'ai les larmes aux yeux. Je voudrais être une petite souris et les voir. Le voir lui. J'ai de nouveau le feu entre les cuisses. Et je commence à me caresser à travers mon short. Mais c'est pas possible de rester ainsi. C'est trop cruel. Je pars à la cuisine. Quand j'ai pas le moral, moi mon truc c'est les crèmes glacées. Vu que quoique je mange, je prends pas un gramme, j'en abuse parfois. Je mange debout, les yeux dans le vague. Soudain je sursaute je ne suis plus seule. IL est là. En caleçon. Le torse nu. Et toujours ce sourire.

Je ne sais pas quoi faire. Je ne dis pas un mot. Je le regarde et je ne peux m'empêcher de regarder son caleçon. Il s'approche et je me sens fondre. Sa bouche se colle à mes lèvres. C'est tout de suite le feu dans mon short. Ses mains sur mes fesses, sa queue que je sens collée à moi. Je suis prête à tout. J'ai pas envie qu'il me laisse de nouveau. Et je m'étonne en lui disant. Son sourire sur moi et ce « ça ne tient qu'à toi » me réchauffe le coeur. Il répond à une question qui me taraude. Su-jan dort. Il ne me cache pas qu'ils ont fait l'amour et qu'elle dort toujours profondément après. Je prends ça comme un signal. Je me colle encore plus à lui en lui disant que j'ai envie. Il me repousse légèrement et me demande quelle expérience j'ai. Il me surprend en me disant que je dois pas être vierge (je me colle trop à sa queue pour être pure selon lui) mais que j'ai pas dû avoir beaucoup d'expériences car je reflète une grande innocence. En quelques mots, je lui dis pour mes aventures.

Il m'entraîne vers le salon. Je suis en feu. J'ai hâte qu'il me baise. Ma chatte coule et je sens que je vais prendre un plaisir fou avec ce mec. Quand je pense, je me dis que j'étais folle. Su-jan aurait pu surgir et nous surprendre. Mais il était si sûr de lui et puis j'étais vraiment pas en état de réfléchir. Donc on va dans le salon. Sa bouche collée à moi, nos langues qui se mêlent, moi qui écarte les cuisses et qui n'attend qu'une chose, qu'il me retire mon short et qu'il s'enfonce en moi. Lui qui s'arrête un instant. J'ai peur qu'il se sauve de nouveau. Je le supplie du regard et de la voix pour qu'il reste. Je lui dis de nouveau que je suis prête à tout. C'étai le signal qu'il attendait. Je le sais à présent. Il me dit « vraiment tout ?». Je dis oui. Et là il baisse son caleçon et me dit « suce ».

J'ai eu un instant de recul. Pour être franche, j'ai jamais vraiment fait ça. Mon premier, il a essayé mais bon il a vite compris que je voulais pas. Je crois aussi que c'est pour ça qu'il m'a larguée. Les 2 autres c'est pareil, je pouvais pas. J'ai fait quelques caresses mais pas plus. Et surtout de sentir tout d'un coup leurs mains peser sur ma nuque me donnait envie de vomir. Je reste un moment à regarder Alex. Je sens que si je dis non, ce sera fini. Et j'ai pas envie qu'il se tire. Alors je surmonte mon « dégoût » et je me penche. A partir de ce moment là, j'ai vraiment perdu les pédales. Je ne me reconnaissais pas.

J'ai pas arrêté de le sucer, de passer ma langue sur son gland, de caresser ses couilles, il me disait comment faire et je le suçais. Je sentais à ses râles que je devais pas trop mal m'y prendre. Sa main pesait sur ma nuque mais avec une réelle douceur. Pas comme avec les autres. Je devenais folle de cette queue et je ne la lâchais plus. J'ai vite compris comment la flatter avec les doigts, avec la langue, comment la rentrer dans ma bouche et la sortir en aspirant comme si je suçais un cône. Moi qui adore les glaces j'étais servie. Puis ses jambes se sont mises à trembler et j'ai senti comme un goût salé dans ma bouche. Je l'ai entendu dire qu'il allait jouir et il voulait que je me retire. Sa main ne pesait plus sur ma nuque, il me disait qu'il voulait jouir sur mes seins. Mais moi j'étais prise d'une vraie hystérie et je suis restée à le pomper. Comme une chienne en chaleur. Et soudain j'ai senti comme un geyser dans ma bouche. C'était la première fois que je sentais le goût du sperme. J'avais les larmes aux yeux mais je ne pouvais m'empêcher de continuer à le sucer. Je le sentais à moi. Il continuait de se vider. J'ai relevé la tête et j'ai senti son regard sur moi. Il semblait surpris. Et puis j'ai avalé. Ca m'a fait bizarre. C'était amer mais en même temps pas désagréable. Et puis son regard sur moi était si différent. Son baiser après ne ressemblait en rien aux autres. Ses mots aussi. IL me disait merci avec une telle intensité.

C'est là qu'il m'a fait la révélation. Qu'il avait été rarement aussi bien sucé. Je sentais qu'il était sincère et que c'était pas juste pour me remercier. Il n'en revenait pas que ce soit la première fois que je suce. Il s'en voulait presque. Mais il me disait qu'il n'avait pas pu résister à ma bouche. Quand je lui ai demandé si Su-jan suçait, il m'a dit qu'elle le faisait pour lui faire plaisir parfois mais qu'il n'avait jamais joui dans sa bouche. Qu'une fois il avait voulu mais qu'elle l'avait rejeté et lui avait fait la gueule pendant des jours. Son regard sur moi avait vraiment changé. Et moi je n'en revenais pas d'avoir sucé un mec et en plus d'avoir aimé ça. Et j'avais toujours le goût dans la bouche et ça me déplaisait pas. Au point que je me suis repenchée sur lui et que je me suis mise à cajoler sa queue.

J'ai levé mes yeux vers Alex et son regard m'a pénétrée si intensément. Alors j'ai vraiment perdu la tête et je me suis mise à le pomper comme la pire des salopes. Son compliment m'avait rendu dingue de sa queue. Je me suis mise à le branler de plus en plus fort, à redonner vie à sa queue en la nettoyant, aspirant tous les traces de sperme... Je lui caressais les couilles, les léchant, folle de le sentir respirer de plus en plus fort et t'entendre ses « suce moi bien salope ». C'était dingue, ça me faisait penser à des mots d'amour.

J'étais plus la petite minette mais une vraie salope qui pompait un mec qui avait l'habitude de baiser et je n'en doutais pas de dominer les filles. Là il ne maîtrisait plus la situation et de nouveau ses jambes qui tremblent et le voilà de nouveau qui se répand dans ma bouche. Y en a moins et comme une folle je me mets à lui presser les couilles. Il se met à gémir de douleur et de plaisir. Je le sens. Mais je continue à aspirer et un petit filet de sperme continue à couler. Et je continue d'avaler. Quand je lève les yeux, il est comme chancelant. Il me tire jusqu'à lui mais il semble ne plus avoir de forces. Je me blottis contre lui et ses mots d'amour me font chavirer. Sa bouche se colle à la mienne et je le sens qui goûte à son sperme. Ca me rend dingue et je me mets à lui bouffer la bouche, la langue... Son « faut vraiment se méfier de l'eau qui dort » me fait chavirer. Pour la première fois, je me sens vraiment femme. Plus une gamine.

Il a pas besoin de me le dire. Je le sens. Il est ko. Il est tout gêné je le sens aussi. Il n'a pas eu le contrôle de la situation comme il le croyait. Les rôles se sont inversés et je vois bien qu'il a pas l'habitude. On se sépare sur le palier. Pas un mot. Juste un regard et sa main qui s'attarde sur mes fesses. Ce coup-ci il bande plus. Et je suis fière de me dire que c'est grâce à moi. Je rentre dans la chambre et je me couche. Pas envie de me laver les dents. J'ai encore ce goût dans la bouche et je sais que j'ai pas fini de l'avoir. J'aime le sperme.

Le lendemain matin, le réveil est douloureux. J'ai mal dormi. Les draps sont trempés. J'ai mouillé comme une folle. Et toujours ce goût dans la bouche. Mais bon si ça m'a plu hier soir, au réveil c'est pas terrible et je cours me rincer la bouche. J'en profite pour regarder ma bouche, ma langue et je suis toute chose de penser que c'est dans cette bouche innocente que Alex s'est vidé cette nuit. Une douche, je m'habille, pas de bruit. Il est sept heures et quelques. Du bruit dans la cuisine. Alex seul. Su-jan dort encore. Il me dit ça d'un ton détaché. IL est beau. En costard cravate. Il doit partir. Il est pressé et je sens comme une certaine gêne entre nous. J'ai peur que tout soit déjà fini. J'attends en le regardant se préparer. Quoi je sais pas. Enfin si je sais. J'ai envie qu'il m'embrasse et me dise des mots tendres. Il va partir et je sens toujours ce malaise. Je n'ose pas lui parler. J'ai peur de dire des bêtises. Et puis au moment où je crois que c'est foutu, il se retourne et m'embrasse tendrement sur la joue. Puis sa langue glisse jusqu'à ma bouche et il me donne encore un de ces baisers qui m'ont rendue dingue la veille. Il me dit qu'il a mal dormi. Qu'il n'a cessé de penser à moi. Qu'il ne faut pas que je méprenne. Là j'ai les boules. Je me dis qu'il va me larguer. Mais non. Comme quoi je connais mal les mecs.

Il me dit que c'est la première fois qu'il trompe Su-jan et qu'il ne sait pas ce qui lui a pris. Enfin si il sait. Il a eu une terrible envie de moi. Il l'a toujours. Dès qu'il m'a vu chez mes parents, il a eu envie de moi. Mon coeur bondit et mon slip je vous dis pas. Il pensait pas que ça se ferait et puis il m'a vu le mater dans la chambre et il a eu envie de moi. Mais il sait plus où il en est. Je le sens et en plus il me le dit. Et je sens bien que mes prouesses de la nuit y sont pour beaucoup. S'il m'avait juste sauté vite fait, sans doute ce serait différent. Mais là il a joui dans ma bouche et c'est lui qui en parle. Ca l'a profondément touché. Il me demande presque pardon de m'avoir demandé cette caresse. C'est pas son genre, il me dit. Mais ma bouche le faisait tant craquer et mon côté innocente encore plus, qu'il a pu résister.

Tout ce qu'il me dit me réchauffe le coeur et je me colle à lui. Je sens qu'il bande et je me colle encore plus fort à lui. Il me dit qu'il est vraiment touché d'avoir été le premier mec à se répandre ainsi dans ma bouche. Qu'il est conscient de ce que ça représente pour moi. Là j'ai compris. Il veut pas me larguer. Mais ça le travaille. Cette soudaine relation. Sa femme qui part et moi qui vient vivre chez eux et dès le premier soir ça dérape. Je lui propose de partir mais son « non » me fait vibrer. C'est pas ce qu'il veut mais il me demande de lui donner un peu de temps. Ca me rend dingue de voir comment j'ai pu faire craquer ce mec si sûr de lui. Je lui promets de ne pas le harceler et de toute façon je suis là pour les gamins et que si ça peut l'arranger je suis pas obligée de dormir là. Son « on verra » me fait un pincement au coeur parce que moi je me vois mal à présent repartir dormir chez moi.

Mais bon pas possible de continuer à discuter. Y a du bruit à l'étage et Su-jan débarque. Elle me demande si j'ai bien dormi et c'est vrai j'ai les boules de lui répondre. Je me sens mal. J'ai trahi sa confiance et elle est vraiment gentille avec moi et ça me fait chier ce qui s'est passé mais bon c'est vrai que son mec il me plait bien et puis il a pas dit non, au contraire c'est lui qui m'a fait des avances et puis elle a qu'à le sucer son mec après tout. Alex s'en va. Il embrasse tendrement sa femme et je le sens mal à l'aise aussi. Je monte à l'étage. Elle part aujourd'hui et je veux pas être là à les regarder se bécoter. Je vais voir les gamins.

Si-ju est réveillée et elle a faim. Je descends avec elle. Alex est parti. Su-jan me dit qu'elle prend un avion en fin d'après midi. Elle me remercie encore, me tend les clés de sa voiture et moi je me dépêche car j'ai cours. On se fait des bises et elle me demande de prendre bien soin de ses enfants et de pas me soucier de Alex. IL rentre souvent tard et il se fera à dîner lui-même. Je peux me coucher le soir sans l'attendre. J'écoute mais moi je sais déjà que je me coucherai pas tant qu'il sera pas là et que j'ai hâte qu'il me baise. Je saurai attendre qu'il fasse le point. Je vais pas lui sauter dessus mais bon j'ai envie de lui. On verra bien mais ses compliments de la nuit résonnent à mes oreilles et je me dis qu'il ne saura pas résister à ma bouche.

Trois jours ont passé sans qu'il se passe grand-chose. J'étais très absorbée par mes études, la nécessité de pas trop traîner, le plaisir de conduire, les gamins, ma mère qui appelait pour voir si tout était ok, et Alex que je voyais à peine. Son boulot c'est sur mais le soir quand il rentrait, il était différent. Il me disait qu'il avait mangé un morceau dehors, qu'il était crevé et qu'il avait encore des rapports à lire. Moi ça me foutait le cafard de le voir ainsi m'éviter mais bon je me disais que si je le harcelais il me larguerait. Su-jan était bien arrivée. Elle avait appelé et vu l'état de sa mère elle savait pas quand elle allait rentrer. Encore plein de merci et elle me demandait de réfléchir à ce qui me ferait plaisir. Moi je pouvais pas lui dire mais mon cadeau ce serait que son mec me baise.

Ces 4 nuits j'ai pas arrêté de penser à lui, de me toucher, de me lever, de guetter, d'aller dans le couloir mais j'osais pas aller dans leur chambre. J'avais envie mais pas au point d'être une salope et de baiser dans le lit conjugal. Et puis je sentais bien qu'il m'aurait alors rejetée et que ça aurait été fini pour de bon.

Le vendredi arrive. Journée comme les autres. Je me dis que ce week end il sera plus présent. Mais là on sera pas plus tranquille pour autant. Mes parents nous attendent pour déjeuner le samedi et le dimanche. Ma mère a insisté et je ne me voyais pas lui dire non. Mais bon je me dis que le soir il sera bien obligé de me parler. Et j'ai envie de savoir. Il rentre tard de nouveau. Pas seul. Avec un collègue. Un vieux à qui il me présente. Mais bon ils sont pas là pour me tenir une conversation, et ils partent dans son bureau pour discuter. Je sens bien que je dérange. De toute façon, je comprends rien. Je pars me coucher et je m'endors.

Je me réveille dans la nuit. Je regarde ma montre. Il est presque 3 heures. J'ai pas trop le moral, je sens que c'est rapé avec Alex, j'ai envie d'une glace, ça me fait mouiller car je ne peux pas m'empêcher de penser à cette première fois où j'ai eu envie d'une glace ici. Donc je descends. Et là de la lumière dans le salon. La télé qui marche. Et je devine Alex sur le canapé. Il regarde une vidéo. Pas du genre pour les gamins. Je descends doucement. A peine de son. Sans doute pour pas me réveiller. Il est sur le canapé, et je le vois se caresser tout en regardant la vidéo. Sur l'écran, une blonde avec 2 mecs autour d'elle. Mais bon moi les films de cul c'est pas mon truc. Mon premier mec il a voulu me montrer comment je devais m'y prendre pour le sucer en me montrant une vidéo mais ça m'a plus refroidie que donné envie.

Là je descends doucement, les yeux fixés sur Alex que je vois de trois quart et je le sens plus que je le vois en train de se branler. Ses yeux sont rivés sur l'écran. Je veux pas le déranger. Ca m'excite de le voir ainsi. Soudain il se retourne. Il me voit et il semble surpris et gêné. Il coupe la vidéo, remonte son caleçon et se lève. Nous sommes quasiment dans la pénombre et il allume la lampe près du canapé. Je regrette d'être descendue. J'aurais voulu le voir jouir. Il est vraiment mal. Il s'excuse. Ca me fait sourire. Il doit croire que je moque de lui mais moi c'est qu'il s'excuse qui me fait sourire. Il est chez lui. Je lui demande pourquoi il a éteint la vidéo.

Son regard m'en dit long. Il remet la vidéo et je m'installe à côté de lui. Et je pose ma main sur son caleçon. C'est toujours dur. Et me revoilà de nouveau à genoux devant ce mec et en train de le sucer. La vidéo tourne mais moi j'ai d'autres choses à faire. J'entends les cris de la fille mais pour les images moi j'ai ma propre queue à m'occuper. Elle grossit et je sens ses jambes qui tremblent. Je le sens venir et de nouveau c'est un geyser de sperme qui m'inonde la bouche, j'avale tout en continuant à aspirer, à le sucer, et il continue à jouir. Il jouit cette fois-ci en criant son plaisir et ça me fait chaud dans le ventre de voir ce mec prendre son pied ainsi. Sa main pèse sur ma nuque et il continue de se vider. C'est si bon.

Puis il me relève et me roule des pelles. Il boit son propre sperme et ça me rend dingue. J'ai envie de lui. Je le lui dis et c'est parti. Il fait glisser mon slip (trempé vous vous en doutez), m'écarte les cuisses, et pose sa bouche entre mes cuisses. J'avais jamais voulu qu'un mec me fasse cette caresse mais là c'était différent. Je sens sa langue me fouiller, pénétrer ma chatte, ses doigts qui écartent mes lèvres, et je suis partagée entre une chaleur intense et l'envie de rire. Ca me chatouille, il le sent et bientôt ses doigts remplacent sa langue. Je crie, j'ai le ventre en feu, je lui réclame qu'il me baise.

Sa queue, je l'ai littéralement avalée. Je l'ai senti passer mais il savait vraiment y faire. Après ce fut un torrent de plaisir, une jouissance absolue, je tremblais et il continuait de bouger en moi. Je pleurais de bonheur, mes larmes coulaient et je mon ventre était toujours en feu. Puis il s'est retiré, m'a regardé un instant avec des yeux je vous dis pas et me voilà de nouveau à le prendre dans ma bouche. Et à goûter à mes propres secrétions. J'avais déjà goûté en me branlant mais là c'était différent, plus fort, plus épicé et puis ce goût mêlé de sperme et de ma mouille, un vrai nectar et lui qui se vide de nouveau dans ma bouche, ses mots d'amour, ses caresses sur ma nuque...

On est resté un long moment là sur le canapé, moi dans ses bras, j'avais froid et chaud en même temps. Je ne pouvais m'empêcher de frissonner et en même temps j'avais encore chaud entre les cuisses. On s'est levé et on est parti dans ma chambre. Je me souviens de cette douche avec délice. Je lui disais merci. Il me regardait et son sexe reprenait forme peu à peu. Et moi je regardais cette queue gonfler avec un tel désir. Je l'ai sucé de nouveau sous la douche, avec douceur, tout doucement, en m'attardant sur le gland pour le nettoyer, et lui qui caressait mes cheveux et me disait que ma bouche était un régal.

Il n'a pas joui mais c'était pas ça le plus important. On est sorti de la douche, il m'a séchée. Ses mains qui pénétraient mon intimité pour me sécher, je vous dis pas, c'est un super souvenir. Ses baisers, ses caresses, et puis je me suis blottie dans ses bras et on s'est endormi.

Le matin, c'est Su-ji qui nous a réveillés. Je vous dis pas la frayeur quand elle a frappé à ma porte. Je me suis levée en vitesse. Alex dormait encore et j'ai enfilé un tee shirt. La gamine était là devant la porte, elle avait faim et son papa était pas dans sa chambre. Je lui ai dit qu'il devait être sorti courir et j'ai refermé ma porte pour pas qu'elle le voit dans le lit. Avec Su-ji on va dans la cuisine. Elle se met à la table, je lui sers ses céréales et je vais dans le salon. Là le bordel. Forcément à baiser comme des furies on avait foutu en l'air les coussins et y avait toujours ma petite culotte par terre et lui son caleçon. J'ai vite rangé et puis je suis remontée voir Alex. Il était debout et je me suis collée à lui. Si y avait pas eu les enfants, je lui aurais fait encore don de ma bouche. Il bandait dur le salaud.

On redescend et Su-ji qui s'étonne de voir son père en robe de chambre. J'avais oublié le coup du jogging. Alex qui trouve une pirouette. Plus doué que moi pour les mensonges. Bon la matinée passe vite. Les gamins à s'occuper et il faut aller chez mes parents. J'ai pas trop envie. Je préfèrerais rester là et rebaiser avec lui le plus tôt possible. Les gamins dans la voiture, il me rejoint dans la cuisine. Et là il me roule une de ces pelles. Il caresse ma nuque et me dis que cette nuit a été merveilleuse. Que je suis vraiment une amante du tonnerre et que ma bouche est un délice. Je vous dis pas comme ses mots me touchent. Il me demande de faire gaffe chez mes parents. Il a raison de me le rappeler parce que vu mon état je serais bien capable de lui rouler une pelle là bas. J'ai le ventre en feu. Je lui dis, il sourit et me dit que sa queue se languit de ma bouche. Et qu'il y aura encore plein d'autres nuits..

Donc on va chez mes parents. Là la routine. Un repas de famille, ma mère qui me pose des questions sur mon organisation, Alex qui fait des compliments à ma mère sur mes talents (j'ai envie de pouffer car si elle savait mes vrais talents, elle serait folle !!!!) et lui qui sourit car je sens qu'il pense à la même chose que moi. Mes soeurs et mon frère qui jouent et regardent la télé. Moi j'étais en pleine extase. Pour un peu je me serais crue en visite chez mes parents avec mon mari et mes gosses. Et il faut pas que je regarde Alex. Je le sais mais je peux pas m'empêcher. Il est si beau et ma chatte est en feu. Donc l'après midi s'écoule doucement et ma mère qui propose de rester dîner et pas moyen de lui dire non. Elle comprendrait pas mon insistance à partir et j'ai pas envie d'avoir droit à des questions. Donc le dîner et enfin le départ. Les gosses sont crevés. On arrive. Le bain en vitesse. Alex dans son bureau à regarder un dossier. Les gosses enfin couchés, je peux redescendre.

Il m'attend dans le bureau et je me retrouve tout naturellement à genoux devant mon homme. Il n'a rien demandé mais moi ça me semblait naturelle de me retrouver ainsi à genoux et de lui ouvrir sa braguette. Je me reconnaissais pas mais toute la journée j'avais rêvé de ce moment où j'allais lui offrir de nouveau ma bouche. Et me revoilà en train de le sucer, de lui lécher les couilles, de cajoler son gland, de passer ma langue sur la couronne, d'avaler sa queue et de la pomper, de la ressortir, de l'enduire de salive, de caresser ses couilles, de les prendre dans ma bouche, et lui qui râle de plaisir et sa main qui pèse sur ma nuque et de nouveau l'explosion. Et ce cri qu'il me jette. Son « oui » je l'entends encore à mes oreilles et ce geyser qui m'explose dans la bouche et moi qui continue à avaler et à lui presser les couilles...

Je suis une vraie chienne en chaleur et je ne veux pas lâcher mon « os ». Je continue à le sucer, mais lui il veut ma chatte, il me dit qu'il a envie de mon ventre mais moi je continue à le sucer de plus belle et je l'abandonne à regret. Il me prend par terre sur le tapis et il me pénètre d'un coup et sa violence me procure un orgasme dingue, je bouge les hanches et il me défonce littéralement, me traitant de petite salope et me demandant si je la sens bien sa grosse queue. Tu m'étonnes comme je la sens, je suis étroite et j'ai l'impression qu'il m'ouvre le ventre. C'est si bon, j'ai mal et du plaisir à la fois. Je veux qu'il jouisse en moi et c'est ce qu'il fait. C'est si bon. Jamais eu un tel orgasme. Je pleure et je ris à la fois. Je lui dis que je l'aime et je me réfugie dans ses bras.

On reste un moment là à rien dire, à se sentir et à reprendre notre souffle. Je sais au fond de moi que j'ai déconné (je prenais plus la pilule et le lendemain j'ai du aller acheter une pilule du lendemain ( - la tête du pharmacien et sa remarque sur les capotes-) mais dans le feu de l'action j'ai vraiment pas pensé à ça. Donc on reste là un bon moment ; il est tard et je suis bien. Le téléphone qui sonne. C'est Su-jan qui a mal calculé le décalage horaire. Lui qui ment et lui dit qu'il bossait sur un dossier. Moi qui culpabilise un petit peu. Pas longtemps car comme une vraie garce, je me remets à le sucer là à genoux pendant qu'il est au téléphone assis à son bureau. Il essaye de me repousser mais sa queue réagit au quart de tours et me voilà de nouveau à le sucer alors qu'il parle à sa femme. Il peine à conserver son calme, je le sens, il essaye vraiment de me repousser mais moi j'en ai envie de sa bite. C'est le pied et il a à peine raccroché qu'il jouit dans ma bouche en me traitant de salope. J'aime qu'il m'appelle ainsi. Je suis sa salope, sa petite pute, son garage à foutre, tout ce qu'il veut du moment qu'il me laisse jouer avec sa bite.

On remonte à l'étage et il me fait le plus beau des cadeaux. Pas ma chambre, il veut que je dorme avec lui dans leur chambre. Je suis un peu gênée mais lui il insiste et puis après tout c'est rien. J'ai déjà assez baisé avec son mec pour que l'endroit soit pas si important. Mais c'est vrai ça me fait tout drôle en me couchant. J'ai vraiment l'impression d'être sa femme. J'ai besoin de lui parler, de lui dire ce que je ressens mais bon il s'est endormi et moi ça me fait craquer de le voir ainsi. Alors je me colle à lui, je suis nue et je sens sa queue contre moi. Je me promets de me donner totalement à lui. Je l'aime.

Pendant deux semaines, ça été la folie. Une vraie orgie sexuelle. Tous les soirs, il rentrait alors que les gamins étaient couchés et nous faisions l'amour. Sans pudeur, sans gêne dans le salon, son bureau, dans la cuisine, dans le garage (sur la machine à laver c'est terrible), dans ma chambre, dans la sienne. Le matin bien sûr je me levais avant que les enfants se réveillent pour qu'ils ne nous trouvent pas ensemble.

Je me suis totalement donnée à lui. Toute entière. Y compris mon jardin secret. Mon petit cul lui faisait envie je le voyais bien à ses mains souvent sur mes fesses et c'est tout naturellement qu'un soir que je lui ai demandé de me prendre ainsi. Je vous dis pas son regard et le plaisir (la douleur aussi c'est vrai au début) que j'ai ressenti. Au point de lui demander après de me baiser à chacun de nos rapports comme ça. Comme une chienne. Et comme je reprenais toujours pas la pilule, là au moins y avait aucun risque. Quand il jouissait ainsi dans mes fesses, c'était comme une décharge électrique dans toute ma colonne vertébrale.

Je me donnais comme jamais avec un mec. Et lui ça le rendait dingue. Il me parlait parfois de son couple avec Su-jan. Mais c'était moi qui le voulais. Et j'ai vite compris qu'il aimait beaucoup sa femme, côté sexe c'était plus trop ça depuis que les gamins étaient nés. Elle aimait bien les caresses et le cuni mais la fellation et la sodo pas question. Et puis elle était un peu trop passive. Il me disait qu'il m'aimait beaucoup mais je sentais bien qu'il était hors de question pour lui de briser son ménage pour se mettre avec moi. De toute façon, je me voyais mal expliquer à ma mère la situation. J'évitais de penser au retour de Su-jan et de profiter au maximum de mon bel amant.

Les jours passaient tranquillement, Su-jan appelait régulièrement, le soir tard en général quand je suçais Alex et c'était devenu un jeu entre nous. J'essayais de le faire jouir alors qu'elle était en ligne et lui de résister. Et souvent je gagnais. Son cri était intérieur et sa jouissance encore plus forte. Moi ça me rendait dingue de le sucer ainsi comme une chienne. Sa chienne. Les week end suivants on a bien sur été chez mes parents et une fois j'avais trop envie j'ai sucé Alex (mais il a pas joui, il était trop paniqué je crois) dans ma chambre. J'étais folle mais c'était si bon de l'avoir ainsi à ma merci et de le dominer.

Puis mardi, il y a 5 jours, Su-jan a appelé pour dire qu'elle allait bientôt rentrer. Sa mère va mieux et puis sa famille lui manque. Ce soir là j'ai pleuré. Alex l'a senti et m'a consolée en me disant qu'on pourrait se revoir de temps en temps. Mais je sentais bien que ce serait pas pareil. Mais bon j'ai vite repris le dessus et donné plein de souvenirs à mon amant. Et aussi pour que lui aussi il regrette ces moments d'ivresse sexuelle.

Su-jan est rentrée. C'était ma dernière nuit ici. Elle m'a proposé de rentrer chez moi dès le soir mais vu qu'elle était un peu chancelante par le décalage horaire elle a été ok quand je lui ai proposé (je croisais les doigts) de rester encore une nuit. Ils sont couchés à présent et j'ai envie de sexe. Mais bon à table tout à l'heure j'ai bien senti qu'il y avait un truc de casser entre Alex et moi. Dommage.

Sandrine.

 

Par sangokudu94 - Publié dans : queduq
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Lundi 10 avril 1 10 /04 /Avr 10:23

C’est beau d’être amoureuse, oui sans doute, mais c'est dur de ne pouvoir toujours l’exprimer. Moi, je me le suis si souvent, si longtemps interdit que je pensais en étouffer.

Je suis une femme et j’aime une autre femme. Longtemps je n’ai osé ni me l’avouer ni lui avouer; croyez-moi, ce silence là n’est que souffrance.

Dans ma boutique de parfumeuse, de cos-mé-t-ologue, il faut bien faire bonne figure. Mon salon à sa renommée dans cette grande ville de province, je ne suis là qu’à cause d’elle.

Jade! L’amie d’enfance, dont dès quinze ans je m’émouvais le cœur, que j’ai suivi de collège en lycée, de bac en Institut commercial, traçant ma voie sur la sienne contre le gré de tout mes proches. Jade! Et ses mauvaises fréquentations. Jade! Et ses dangereuses expériences, chevauchant des motocyclettes, touchant aux mauvaises substances et toujours mon amie, toujours rebelle aux complaisances du siècle. Jade! Mon antithèse, dont la jolie silhouette et les mèches brunes me piquète l’âme de son sel. C’est elle qui tient, à quelques pas, le salon de tatoueur de la ville.

On se voit toujours et toujours ma voix tremble lorsque nous nous parlons où déjeunons ensemble, à l’occasion. Je n’ose pas lui dire mon sentiment.

Voilà comme je vis l’enfer et la torture et m’enfonce au profond des chairs ces lances de glace et de mort.

Ce matin cependant, le cours de mes pensées moroses vient d’être interrompu. Swann, la cliente assidue, sautille vers moi, pétulante, dans le carillon de l’accueil.

- « France-Edith, il me faut la cabine de bronzage ce matin.

-Elle est libre Swann, mais vous ne semblez pas en avoir besoin. »

Son joli tricot brodé dégageait son nombril doré orné d’un discret anneau d’or. Son short de corsaire mettait en valeur ses cuisses minces et bronzées.

- Si, si, j’ai besoin d’un intégral pour bientôt. Sourit-elle, un doigt sur les lèvres et l’autre sur mon épaule.

- Ah, une grande occasion?

- Oui et non, vous voyez ceci?

– Le piercing ?

- Oui je l’ai fait chez

- Bien sûr, je connais très bien Jade aussi.

- C’est ça! Et j’ai décidé de me faire tatouer, là!

Son doigt dessine le pli de son aine sur son short.

- « Mais je ne voudrais pas de trace de maillot pour ça ».

- Bien sûr! Allez vous asseoir un instant je vais préparer la cabine.

J’ai eu la vision de Swann à la merci des aiguilles de Jade, je n’ai pu supporter l’évocation du corps harmonieux de ma cliente usurper un bonheur qui accompagne parfois mes fantasmes.

Swann parle si librement de ses conquêtes que son goût pour les gens de son sexe est connu. Je ne peux me soustraire à l’amertume de la savoir étendue, exposant sous les yeux de l’aimée, le tendre écartèlement de sa féminité, l’odeur nacré de son organe montant vers le visage attentif de Jade.

Impuissante à endiguer ma jalousie naissante, je mène Swann vers l’appareil. La voir si belle et si resplendissante, pour la première fois, me broie l’estomac. Swann prend conscience de mon trouble mais se méprend sur son origine.

Certes, nous avons parfois eu des gestes déplacés, ce n’est pas rare ici; puis, si vite éteints, qu’il est loisible de douter.

Je devrais juste lui tendre la serviette et le baume, donner quelques consignes et m’esquiver comme de coutume. Sa main me retient dans l’intimité de la pièce exiguë.

- « Aidez-moi France-Edith. »

Campée dans mon haleine, sa chaleur monte entre nous, je la regarde. Ses yeux se rivent dans les miens. Pendant une éternité il ne se passe rien. Enfin l’âme brouillée, je saisis lentement sur sa taille l’ourlet de son cardigan, le retourne sur son ventre, dévoilant son thorax et ses côtes, le relief de ses seins, son cou et son visage prestement libéré.

Swann ne dit mot. Ses yeux mi-clos suivent les progrès de l’excitation qui la gagne. Son corps fléchit et heurte mon bassin.

- « Mon Dieu! Swann, pensais-je, je ne t’aime pas, et je te tiens dans la plus cruelle des promiscuités. Je vais t’offrir, je le sais, ce que tu appelles de tous tes sens. Je vais te donner ce plaisir que tu espères mais tu ne sauras pas pourquoi ».

Swann, inconsciente de mon état d’esprit, s’abandonne à mes soins. J’obtiens son premier frémissement en détachant le soutien-gorge arachnéen et son premier frisson quand elle sent mes doigts s’attarder sur le bouton de sa ceinture. Je la consulte du regard.

- « Tu peux ouvrir mon corsage, Swann, tu m’as donné envie.

C’est vrai, ai-je continué en mon fort intérieur, ton corps est désirable; qui ne s’éprendrait de ta perfection, de ton sourire chaleureux, de la féminité animale qui émane de chaque pouce de ta peau. Quel homme, quelle femme ne donneraient beaucoup pour pincer ainsi, entre ses lèvres, le lobe délicat de ta petite oreille? ».

- « Moi aussi j’ai envie, murmure Swann, le nez dans ma nuque, tu sens si bon ».

Ce sont ses yeux qui me révèlent qu’elle découvre mon torse. Ses doigts tendres s’enfoncent dans mes côtés. Le globe parfait de son sein levé contre mon flanc, nargue le mien. J’enfonce tout près de mon cœur, le germe, la saillie noire de son tétin. Un bouillonnement des sens accompagne mes gestes. D’entre elle et moi se lève l’odeur lourde et primitive de nos muscs.

- « Swann, soufflais-je, laisse moi m’emparer de toi, poser mes bras sur ta taille, si tu savais ce que tu remues en moi d’étranges émotions… On dirait que ton sein mord le mien de tendresse. C’est doux, c’est trouble. OUIIII…! Laisse ainsi ta langue sur mon aisselle. Oh! Tu m’égares.

Sur toute la sincérité de sa chair je la fais, à son insu, la messagère de mes amours.

L’alchimie de nos envies saphiques nous empourpre. Ma peau l’appelle et guide sa caresse. Je la dénude jusqu’à l’encens génital que consume sa corolle adorable. Tout son être s’étire devant moi, s’offrant à l’impudeur des doigts sœurs qui l’infiltrent et froissent ses muqueuses sensibles. Elle tremble entre mes bras, se crispe sur ma hanche, s’ouvre, oppressée par la métamorphose interne des organes qui se dilatent, s’humectent et sourdent ce miel d’entrailles sur la longueur de mes phalanges.

Peu à peu Swann s’anime et s’enthousiasme. Elle défait ma jupe sur mes jambes mêle mon linge sous ses pieds. Mes boucles, contre son pubis, brouillent les lèvres de nos sexes. Dans l‘épaisseur soudain bandée de mes nymphes le baiser chaud de sa vulve épatée me fend le ventre de spasmes. J’incruste ma fente en la sienne, nos sucs nous poissent entre les cuisses. Le halètement de son abdomen flatte le mien.

- « J’immole sur toi ma pudeur, petite Swann. Tu conteras à Jade tes amours, qu’elle sache que je peux, qu’elle sache et qu’elle ose à son tour me venir :Si tu savais comme je l’attends ».

Pour lors, je pollinise ses pétales écarquillés. Pressée sur son intimité j’exaspère sa vulve de l’enveloppement de mon sexe. Swann mord ma poitrine, griffe et me zèbre l’échine, blesse les méplats de mon ventre de ses rouges convulsions.

Elle défaille entre le soutien de mes bras. La bouche sur ma mamelle, Swann tête mon âme à la tiédir. Un tourment de nerf me perfore et me tord sur sa chair. Dans un réflexe d’amoureuse, je prends sa bouche et communie en elle aux ondes voluptueuses qui nous rompent le souffle.


Nous ondoyons, vibrons, sensibles à ce qui croît en l’autre. Déjà Swann souffre des premières secousses qui l’étreignent. Compulsives nos mains trébuchent sur nos fesses, séparent les fermes hémisphères, tyrannisent les sphincters contractés qui s’ouvrent et se ferment au rythme qui nous gagne. Enfin je la pénètre, l’empale du majeur, stimule son étroit repli jusqu’à son périnée luisant. Swann tente, je le sens de s’introduire dans mon rectum. Le foudroiement de l’orgasme l’interrompt. Un cri muet s’élève d’elle.

- « OOOH! TU m’as tué! JE PARS! Je vais! Ôoooo! Je vais me lâcher! Pardon. Supplie-t-elle précipitamment ».

Alors je retiens contre moi le corps stridulant que la jouissance secoue. Mon sexe collé au sien, ressent les contractions de sa petite mort. Son ventre rugit sur le mien; la ventouse de sa vulve comble ma joie de femme.

Je jouis au centre de son propre vagin. L’irrépressible trémulation la scinde en plein plexus. Swann, suppliciée de plaisir, résonne en moi des soupirs de la transe. Elle plie, pleure, gire, à craindre qu’elle ne s’évanouisse.

Triomphante, je ramasse sa chair essoufflée dans mes bras. Un jet d’urine mordoré s’échappe de son méat de poupée. Elle m’en éclabousse, inconsciente, quand je la dépose sous les lampes.

Revenue à moi-même plus tard, Swann partie, Je ne sais plus à quoi m’attendre. Prête à ruminer à nouveau la tristesse de ma vie. Je sais devoir laisser passer le temps; j’attends.

Aujourd’hui nous sommes vendredi. Je n’ai pas revu Jade, ni Swann. Une envie de jeter les dés me prend. Je sors en laissant le soin de la boutique aux vendeuses.

L’enseigne de - « ZONE ÉROGÈNE » scintille dans la bruine tardive. Le cœur battant j’entre dans la boutique. La petite préposée du comptoir m’accueille gracieusement.

- « Je viens pour un tatouage, dis-je, faut-il prendre rendez-vous? »

- Oui, avez-vous déjà choisi le motif?

Je crois, mais je voudrais que ce soit Jade qui le fasse.

Elle lève les yeux sur moi, rassurante :

- « Quand c’est une femme c’est toujours elle ou Jeanne, pour les hommes, toujours Michel ou Stephan, ne craignez rien. »

J’ai pris rendez-vous pour mardi, Jade était absente. Je regagne la parfumerie comme une somnambule. Le tatouage n’est pas mon genre, qu’espèrais-je donc de cette démarche?

- « ALLÔ? C’est toi France-Edith? La voix de JADE… Je viens d’apprendre que tu as pris rendez-vous? C’est vrai? Tu es sûre?

Tu sais, je dis ça parce que ça m’étonne mais ça me fait plaisir aussi, oui vraiment. Écoute, c’est dommage d’attendre mardi, si tu veux on peut commencer ce soir, on soupera ensemble comme ça ».

J’ai répondu avec une boule dans la gorge. J’ai dit oui à tout.

- « Mon Dieu, faites que ce soit ce soir, faites que je sois délivrée! »

Elle m’ouvre, silhouette aussi fine qu’à vingt ans. Simple pull noir et Jean’s sophistiqué de festons clairs. Jade, toujours vive, toujours attirante.

- « Entre donc, me dit-elle, en embrassant ma joue ». Mais son baiser, le plus chaste ou le plus distrait suffit à me faire palpiter. Sur le seuil, devant la rue sans passage, je la sens indécise.

- « Merci pour ta proposition, elle tombe à pic, tu sais ».

- Tant mieux, débarrasse toi voyons, donne-moi ton manteau.

- Tiens, dis-je en m’exécutant, je t’ai apporté ceci.

- Du

- « PORTO! » Il ne fallait pas…

- Mais si.

Et la conversation s’amorce lentement, recouvrant peu à peu le ton plus naturel qui nous soulage toutes les deux. Dans l’air flotte toujours une espèce de gêne qui ne trouve pas encore à se confier.

- « Tiens, constatais-je, tu as changé de parfum? »

- Oui,

- « NIRVANA » Au fait, c’est une de nos clientes communes qui me l’a conseillé.

- Madame Swann King? Ah oui, d’ailleurs c’est elle, au fond, qui m’a décidé de venir. C’est drôle hein? Mais… Jade! Qu’est-ce que tu as?

Des yeux brillants de Jade, des larmes silencieuses glissaient le long des joues.

- « Ce n’est rien, ce n’est rien, je suis bête, excuse-moi ».

- Jade dis-moi, ne reste pas comme ça.

- Madame King aime se raconter, tu sais. Elle m’a dit avec toi …

- Mon Dieu, Jade! Et c’est pour cela? Dis-moi? Oh Mon Dieu! Jade, si tu savais…Ecoute-moi!

Bouleversée, je m’approche d’elle, enveloppe ses épaules dans mes bras, pose sa peine sur ma gorge. Jade pleure, pleure, pleure.

D’un bras, je tire de mon sac un cahier d’écolier : un cahier de gamine couchant ses confidences dans la souffrance de l’interdit. Je le lui tends.

- « je t’avais aussi apporté ceci, je n’osais pas te le donner »

Son regard m’interroge.

- « On peut faire l’amour à quelqu’un sans l’aimer, en n‘en aimant un, ou une autre. Je pensais bien qu’elle te rapporte ce que j’ai fait. Je l’espérais.

- Mais pourquoi? POURQUOI? France-Edith?

- Et toi Jade, pourquoi pleures-tu?

J’essuye de ma main tremblante la joue mouillée de mon amie. Je m’applique à y mettre toute mon affection.

- « Lis ces pages, moi aussi j’ai été maladroite et aveugle. Je voulais que tu apprennes que j’étais capable d’aimer. C’est difficile, tu sais; j’ai si peur d’être mal jugée, parce que… Ce n’était pas un homme que j’aimais, voilà »

Le cahier bouge entre les doigts de Jade, les feuilles tournent. A mon tour mes yeux s’embuent, Jade levant les siens, sont perlés comme moi.

Nous nous sommes jetées dans les bras l’une de l’autre. D’un coup je renaissais au monde, à la vraie vie. Un très, très long moment nous nous sommes étreintes, savourant la délivrance palpable de nos âmes.

- « Moi aussi, me dit Jade, je vais te montrer quelque chose ».

Elle se lève, libre juste à deux pas de moi. D’un mouvement de liane, elle tire son pull. Sa peau claire me point les viscères, je n’ose pas de geste. Crânement le regard sur moi, elle pousse sur sa hanche l’étoffe rêche du Jean’s, le repousse en silence et lève ses chevilles. Mon cœur bat la chamade. Jade me sourit :

- « Non, non, ce n’est pas ce que je veux te montrer encore! ».

Cette fois je m’approche pourtant, baise son cou, sa joue, son front; applique ma bouche à la sienne, explore de ma langue toute sa profondeur. Jade cède et me fond dans la gorge. Je goûte son haleine pour la première fois. Je tremble contre elle; elle m’apaise.

- « Attends! Je veux te voir. »

Je me sens si bien sous ses doigts qui me déshabillent…Si émue que le moindre de ses attouchements provoquent la chair de poule. Je ne supporte plus que mes seins hérissés ne s’extasient des siens. Je les libère. Son torse me poignarde de ses deux mamelons, si durs, si doux que j’en vibre de tout le corps. Je me sens explorée du fourmillement de ses doigts. Ils courent sur moi comme je cours sur elle. Ce sont mes côtes, c’est son aisselle; les muscles de son abdomen répondent au bassin qui la presse. Sa main s’enfuit le long de moi, je m’enhardis jusqu’à palper la chaude césure de ses fesses…

- « Attends! Tu y es presque …! Penche-toi un peu ».

J’obéis, ardente amoureuse, et m’accroupis entre ses jambes, humant l’excitation de son intimité au travers sa mince culotte.

- « DESCENDS-LÀ, ma chérie, je veux que tu me voie »

C’est plus une prière qu’un ordre; je me fais délicate. D’un court baiser je quitte son nombril et doucement dégage peu à peu l’émouvante toison de son étroit pubis jusqu’à la chair nacrée de sa fente entrouverte…

Un moment je demeure interdite, suffocante, une déchirure de l’être me secoue d’un chagrin libéré. Je pleure à chaudes larmes contre sa vulve dilatée. Sur son aine, fuyant vers ses replis secrets, je déchiffre mon nom, tatoué au profond d’elle…

Sa main se perd dans mes cheveux, grave, mes larmes se mêlent à l’onction de son sexe. Jade…

Merline

Par sangokudu94 - Publié dans : queduq
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Mardi 4 avril 2 04 /04 /Avr 14:00

Ca y est j'ai reçu mon gode et je l'ai même essayé pendant les vacances, je vais tout vous raconter pendant que j'ai acces au net pendant mes conges. J'etais seule à la maison et je suis allée dans la salle de bain pour ma toilette d'un coup j'ai pensé que je pouvais essayer mon nouveau jouet. Je suis allé le chercher dans sa cachette et je suis retourné dans la Salle de bain.

Rien que de le tenir j'etais excité, mon sexe etait dejà tout humide; j'ai eu une soudaine envie de le lecher ce que je fit avec une grande lenteur.Dans mon esprit je faisais une fellation à mon copain, je l'enfonçais au plus profond de ma gorge, je l'enduisais de salive laissant même une legère guirlande de salive entre le sexe en plastique et mes lèvres. Au bout de quelques secondes j'étais dejà dans un état terrible d'excitation, je n'ai pu m'empeché pendant cette pipe d'aller caresser mon sexe en ebullition.

Ma petite rose perdait toute les larmes de son corps, j'ai facilement insinué un doigt puis deux et même trois, mon corps ondulait sans retenue. J'arretais ma fellation pour présenter le phallus en plastique à mon sexe, j'écarta mes jambes pour poser un pied sur le rebord de la baignoire, le gode n'eu aucun problème pour s'introduire dans mon volcan. Dés les premier va et vient très lent mon corps réagit positivement, le plaisir était à son paroxisme, c'est alors que je me suis alongé sur le carrelage froid.

Le contraste entre la chaleur de mon corps et le froid du sol decupla mon plaisir, ma chatte etait un veritable torrent et le sexe artificiel glissait en elle pour ma faire exploser de plaisir. Mais ma séance ne s'arreta pas là car mon sexe en reclamait encore; je me suis retournée et allongée sur le ventre, mes seins sur le carrelage froid m'ont reexcité. J'etais cambrée les fesses tendues vers le ciel et ma main entre mes jambes faisant bouger le gode dans ma source.

Une maladresse de ma part fit sortir le gode qui frola mon anus,et ce dernier fut recouvert de liqueur recueillit par le gode. La situation apparut tres claire pour moi, je me suis introduit un doigt dans l'anus pendant que je me masturbais avec mon gode.

La deuxième vague de plaisir arrivait c'est alors que je m'introduis un deuxième doigt dans mon anus. Là l'eruption de plaisir fut inevitable hummmmmmmmmmmmmmmmmm... j'ai jouis comme une folle dans la position suivante: Alongée sur le ventre, la main droite sous mon ventre entrain de masturber mon sexe avec un gode et l'autre main entre mes fesse pour stimuler mon anus. C'etait vraiment divin.

Caroline.

Par sangokudu94 - Publié dans : queduq
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